
C’est une affaire dans l’affaire, une histoire dans l’histoire, la polémique que personne n’attendait, un feuilleton dont l’excipit demeure à ce jour inconnu. Lundi dernier, alors que s’est ouvert à Paris.
Le procès de Nicolas Sarkozy pour corruption, un avocat, Maître Frédérik-Karel Canoy a fait savoir qu’il avait été mandaté par confrère Me Francis Chouraqui pour représenter Paul Bismuth, dont le nom a été utilisé comme alias par l’ancien président afin de communiquer avec son avocat Thierry Herzog.
Problème: dès mardi, l’intéressé a affirmé mardi à l’AFP qu’il n’était pas, et ne serait pas, partie civile dans ce procès. Paul Bismuth, qui vit en Israël, s’est en effet inscrit en faux contre les propos de Maître Canoy. « J’oppose un ferme démenti (…) je ne connais pas cet avocat », a-t-il dit dans une déclaration à nos confrères de l’Agence France Presse.
« Je n’ai rien à voir avec tout cela (…) J’aspire à la tranquillité », a-t-il ajouté, en se plaignant d’être harcelé par la presse. « J’ai réfléchi, à un moment, à cette hypothèse (de se constituer partie civile), mais je ne suis pas allé plus loin, car je ne vois pas où cela me mènerait », a-t-il dit encore.
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